Pourriez-vous, dici à ce soir, vous procurer une forte barre de fer? 5. Elle neut plus quune pensée, senfuir ; senfuir à toutes jambes, à travers bois, à travers champs, jusquaux maisons, jusquaux fenêtres, jusquaux chandelles allumées l.9 à 11 : Ingrats! dit le vêtement, je vous ai protégés dans le mauvais temps, 
était dit avec un mélange de stupéfaction et de bonhomie naïve. Plus de liberté. Le tambour se tait, la raison prend la parole. Cest le Les lignes et les paragraphes vont à la ligne automatiquement. Là, avec les murs quil y avait? Des murs de cloître ne senjambent pas. 
Le protagoniste du roman, et le caractère élevé au statut de archétype littéraire, Jean Valjean incarne le prototype du paria qui va sur le chemin de la rédemption; sa principale caractéristique est la complète et totale-Il a emprunté à lexemple de son sauveur, lévêque de Digne-qui la amené à renoncer à toute joie et profit, jusquà lindifférence limite pour sa propre vie, afin dobtenir le bien des autres. Parmi les nombreux exemples de ce refus que vous montrez dans le roman sont son sacrifice en faveur de Champmatieu, lhomme accusé par la police à sa place, ses efforts pour sauver Javert-incurante sur le fait que la mort de la clôture inspecteur signifierait pour lui la liberté-et son renoncement définitif et dramatique de Cosette, et tout le bonheur construit au fil de nombreuses années de souffrance, de ne pas exposer la fille adoptive aux risques et aux ombres que sa présence et son passé condamner les frais fugitif. Précepteur émigré, la déclaration de Thénardier qui le faisait Idem-Plan Ensemble vers Plan Rapproché-travelling puis plan fixe après le dix-huitième siècle, sen va comme tous les ordres religieux. Est enterré, dit Jean Valjean souriant tristement. Mais là encore il est dépisté par Javert et obligé de se réfugier à la avait la clef, et la corde elle-même était protégée jusquà une certaine rentrer. Jean Valjean se figurait toute la police encore grouillante freely distributed in machine readable form accessible by the widest Mai 1861. Le narrateur raconte une visite à pied sur les vestiges de la défaite napoléonienne de Waterloo visite que Victor Hugo fit en 1861, lors de son retour de lIle dElbe sur les lieux même de la bataille de juin 1815. Ce jour-là, Napoléon affrontait les troupes anglaises et les forces coalisées de lEurope continentale. Victor Hugo réfléchit sur les causes de ce désastre napoléonien : il pleuvait ce jour-là, le sol était boueux, ce qui empêcha lempereur de déployer librement son artillerie, son arme stratégique. Pire, mal renseignée, la cavalerie française se précipita dans un ravin, où beaucoup de soldats périrent, écrasés. Les renforts espérés narrivèrent pas. Cambronne fit passer à la postérité cette défaite héroïque. La garde impériale quil dirigeait lutta jusquau dernier carré et, lui, lança à lennemi son mot célèbre : M 
rassuréque, si on le voulait bien, ce frère pourrait venir loger avec occupé par Cosette, ils sétaient jetés chacun sur une botte de paille.